Les rizières en terrasses

Mercredi 28 novembre départ de Jianshui pour les rizières de Yuanyang. Nous prenons notre petit déjeuner dans le jardin de l’hôtel avec le thé préparé gentiment par notre hôtesse.

Un enfant dans un hamac au marché de Lengdun
Le bébé ne veut pas voir sa femme travailler les tiges de bambou
dans le village de Juqui
A quoi reconnait-on une femme de l’ethnie yi ? au carré de tissu dans son dos.
dans le village de Juqui
La lessive
L’homme porte le narguilé local
Deux morceaux de tissu c’est une femme de l’ethnie hani. (prononcez rani)
Les rizières de Yuanyang avant d’arriver à notre hôtel
Les miroirs du ciel

Je plaisante, mais nous sommes épatés par la beauté de ce site. Les couleurs changent en fonction de l’heure de la journée. C’est juste un aperçu de notre journée de demain.

Retour des buffles.
C’est l’heure de la bière

Nous sommes arrivés à notre hôtel au village de Duoyishu. Mais franchement la bière chinoise, c’est à oublier très vite. Jacky le propriétaire est juste super sympa. Nous rencontrerons 4 français ici dans ce trou perdu qui est référencé par tripadvisor. C’est lui qui nous prépare un super dîner. Dans la salle d’à côté un feu réchauffe l’atmosphère car nos chambres ne disposent pas de chauffage mais, et c’est précieux, d’un matelas chauffant. Je continue mon blog. Comme aurait pu dire Dominique, c’était une journée de transition.

Avant de vous quitter, je voudrais vous dire que même dans les endroits les plus reculés, chacune de nos résidences disposaient d’un accès wifi. Le fonctionnement pouvait être erratique, mais chaque jour j’ai essayé de mettre à jour mon blog. Bien évidemment accéder à Internet en Chine comporte des contraintes et pas n’importes lesquelles ; les filiales d’alphabet sont bloquées comme chrome, google, gmail,… Il est préférable d’utiliser l’application chinoise we chat pour correspondre avec la France, telegram pour la messagerie et ne pas être espionné. Tout çà me rappelle une étude menée en 2017 auprès d’un panel de personnes d’un certain nombre de pays sur la perception qu’ils avaient d’être surveillées ou espionnées. C’était la France qui arrivait avec 81% de réponses positives loin devant la Chine avec 51%. Tout est donc très relatif.

Sur ces belles réflexions, je vous dis à demain

Ce matin jeudi 29 novembre  petit déjeuner concocté par notre hôte Jacky et de son personnel. Au menu œuf au plat, pain de mie, beurre et confiture avec du thé ou du café pour se réchauffer. Le matelas chauffant est une belle invention.

La journée est consacrée à la visite des rizières et villages blottis à flanc de montagne. Nous sommes à 1800 mètres d’altitude.

En fait le site est payant. C’est comparable aux parcs nationaux des états unis d’Amérique. Mais imaginez si nous devions payer pour la route des vins d’une région en France par exemple.

7h du matin, la vue de la terrasse de notre hôtel.
Notre hôtel, partie gauche
Au même endroit à 8h30
Au village de Duoyishu
La vue d’une plate forme de bord de route avec un gardien auquel il faut présenter son ticket.
Ballade dans la rizière
Dans le village de Luomadian
Cette jeune fille n’était pas très contente de nous voir.
Un travailleur et c’est assez exceptionnel
Impressionnant !
Bon là faut que je descende
La femme chinoise travaille vraiment dur !
Franchement on ne se lasse pas du spectacle.
Cadre pour les mariés
Une commerçante ambulante à une plateforme
Le fumoir de notre restaurant de ce midi
Une serveuse du restaurant à Dayutang
La patronne
un surveillant?
La femme dans la boue
Les parois des terrasses peuvent être hautes
Les canards utilisés pour le nettoyage des terrasses
Bébé dort confortablement
Une dernière pour la route?
Avec mémé
Difficile de se croiser dans une ruelle en travaux du petit village Qingkou.
Retour de l’école à Qingkou
On retrouve cette pipe à eau dans tous les bons endroits, y compris dans un coffre de voiture
Retour du travail des champs
Un personnage dans Qingkou
La vente de tofu à Duoyishu
La même au coucher du soleil
Une belle fin de journée

Dernier point à aborder que j’ai juste effleuré la surveillance. Ici en Chine la vidéosurveillance fait partie de l’ADN. Pas un endroit où elle serait absente : dans le bus de ligne, dans noter minibus, dans le taxi, dans les rues, dans les monastères tibétains,…Je ne saurai dire si derrière tout çà existe une organisation capable d’analyser en temps réel une situation, mais si c’est le cas cela doit concerner un nombre élevé de personnes, au moins des dizaines de milliers probablement.

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